Catégorie : Au jardin

Un constat alarmant : un tiers des oiseaux aurait disparu ces quinze dernières années en France. Chose étonnante, ils disparaissent plus vite de nos campagnes (l’alouette des champs, la fauvette grisette, le chardonneret élégant, le coucou, le milan royal, la perdrix grise…près de 275 espèces seraient touchées) que de nos villes où les espèces généralistes s’adaptent mieux au milieu (le pigeon, la corneille…).

La nature, dans toute sa générosité, nous offre une grande diversité de plantes sauvages comestibles et médicinales. C’est juste là, sous nos yeux, est totalement gratuit. Un trésor dont j’ai pris conscience lors d’une initiation à la cueillette. Depuis, je rêve d’être capable de me soigner et de me nourrir avec les plantes qui m’entourent, dotant plus que je vis dans un environnement d’une grande richesse. J’ai déjà pu acquérir quelques bases mais dans la pratique je n’ose pas, par crainte de me tromper ou de mal faire. Petit partage à travers cet article…

Le printemps et le confinement sont l’occasion de mettre de l’ordre dans son jardin. On remarque les voisins qui s’activent, tondeuses et tronçonneuses ronflant à l’unisson. Mais voilà, les déchetteries sont fermées et il est interdit de jeter les déchets verts issus du jardinage à la poubelle ou de les brûler. Que faire ?

Voilà l’automne, le sol de ton potager (tout comme le jardinier!) est peut-être fatigué après avoir accueilli de nombreuses cultures, ou peut-être souhaites-tu commencer à travailler un bout de terrain pour la saison prochaine. Pour ne pas laisser le sol nu, et éviter l’invasion des mauvaises herbes, saches que la solution la plus simple et rapide est de semer des engrais verts.

Comme déjà évoqué dans l’onglet permaculture, en jardinage nous partons de zéro… et ça se ressent dans les résultats! Cet article n’est pas un cours de maraichage, juste le partage de mon expérience de débutante.

C’est la découverte de la permaculture (et les livres de Pierre Rabhi) qui m’ont donné envie de me lancer dans l’aventure du potager. Et pourtant je peux dire que je pars de loin !